2020 : Obligation de tenter une voie amiable avant de saisir le Juge
2025 : Obligation de médiation à la demande des Juges !

Le service de médiation à distance proposé par Me PUJOL est :
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Un décret du 18 juillet 2025 vient donner une force certaine aux modes amiables de règlement des différends.
Il s’agit d’une avancée majeure pour l’application concrète de la Médiation en France.
Le décret tant attendu n° 2025-660 du 18 juillet 2025, porte réforme de l’instruction conventionnelle et recodification des modes amiables de résolution des différends.
Il a été publié au JO du 19 juillet 2025.
Ce texte recodifie et rassemble l’ensemble des règles applicables aux modes de résolution amiable des différends, conventionnels et judiciaires afin de les rendre plus clairs et homogènes.
Ces dispositions, applicables aux instances en cours à compter du 1er septembre 2025.
Quelles avancées en matière de médiation depuis 2025 ?
  • Une nouvelle rédaction de l’article 21 du Code de procédure civile consacrant la justice amiable :
Une nouvelle rédaction de l’article 21 du Code de procédure civile est issue du décret n° 2025-660 du 18 juillet 2025 :
« Il entre dans la mission du juge de concilier les parties et de déterminer avec elles le mode de résolution du litige le plus adapté. Les parties peuvent à tout moment convenir de résoudre à l’amiable tout ou partie du litige ».
Cette nouvelle rédaction invite à une discussion dans un esprit collaboratif entre le juge, les avocats, les parties pour choisir le mode de règlement le plus adapté à l’affaire et déterminer si ce dernier mérite ou non d’être orientée vers une voie amiable, s’inscrivant dans un principe de proportionnalité procédurale.
  • Généralisation de l’injonction d’information à la médiation avec une amende civile encourue de 10 000 euros maximum en cas de refus de rencontrer le médiateur :
C’était initialement la loi du 23 mars 2019 de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice qui avait généralisé la faculté, pour le juge, « en tout état de la procédure, y compris en référé, lorsqu’il estime qu’une résolution amiable du litige est possible (…), s’il n’a pas recueilli l’accord des parties [de] leur enjoindre de rencontrer un médiateur qu’il désigne (…) »).
Ce dispositif de l’injonction de rencontrer un médiateur est désormais un outil efficace pour développer les modes amiables au sein des juridictions, il est d’autant plus efficace dès lors que l’éventuel refus de satisfaire à l’injonction de rencontrer le médiateur sans motif légitime est à présent sanctionné.
Désormais, le décret du 18 juillet 2025 prévoit qu’à tout moment, tout juge peut délivrer aux parties une injonction de rencontrer un médiateur ou un conciliateur de justice.
Ce décret prévoit une sanction en cas de non-respect de cette injonction : art. 1533 du Code de procédure civile : «  Le conciliateur de justice ou le médiateur informe le juge de l’absence d’une partie à la réunion.
La partie qui, sans motif légitime, ne défère pas à l’injonction prévue au premier alinéa de l’article 1533 peut être condamnée au paiement d’une amende civile d’un maximum de 10 000 euros. ».
Selon l’article 1533-1 du Code de procédure civile « L’article 1528-3 est applicable à la réunion d’information mentionnée au premier alinéa de l’article 1533. La présence ou l’absence d’une partie à la réunion n’est pas une information confidentielle ». Ce texte prévoit ainsi que le principe de confidentialité s’applique à la réunion d’information, à l’exclusion de l’information sur la présence ou l’absence d’une partie à cette réunion. Cette clarification est la bienvenue.
On voit donc clairement l’intérêt pratique de permettre aux parties en litige de rencontrer un médiateur dans le cadre d’une réunion d’information, apte à les sensibiliser quant à l’existence de la médiation et quant aux avantages que pourrait avoir pour elles leur engagement dans un tel processus.
  • Autorisation des médiations-expertises : utiles en matière automobile notamment
Il est relevé également que ce décret abroge l’article 240 du Code de procédure civile qui interdisait au juge judiciaire de donner au technicien mission de concilier les parties.
Ainsi pourra se développer le duo expertise-médiation, avec notamment la pratique des ordonnances dites mixtes dans lesquelles le juge désigne un technicien concomitamment avec un médiateur et qui donne d’excellents résultats.
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    Si la partie avec laquelle vous êtes en conflit ACCEPTE la médiation : l’acceptant signera la convention de médiation et règlera sa participation à la médiation

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    Le règlement du conflit aboutit à un accord amiable acceptable pour tous.

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TRANSMETTEZ-NOUS VOTRE DEMANDE

Le Juge peut-il rejeter ma demande si je n’ai pas tenté la médiation ?

Oui, ces cas sont listés dans l’article 750-1 du code de procédure civile.

Il s’agit des nuisances ou conflits du voisinage au sens large, outre les litiges dont le montant en jeu n’excède pas la somme de 5000 €. Dans ces cas, vous devez, avant tout procès, tenter une médiation ou conciliation . C’est tout l’intérêt de notre service à distance. Rapide, officiel, et à distance. Pour un accord solide et amiable.

La Médiation peut-elle être prise en charge par mon assureur ?

Oui et dans la plupart des cas, votre clause défense recours ou contrat de protection juridique permettra de rembourser les frais engagés pour une démarche amiable – médiation ou conciliation par un médiateur assermenté.

Les échanges avec le médiateur sont- ils toujours confidentiels ?

C’est une garantie absolue en cas de médiation. Tous les échanges entre les participants et le médiateur seront et resteront soumis à la confidentialité. C’est l’un des principaux atouts de notre service : rapide, efficace et confidentiel. En cas de visio-conférence, chacun s’engagera à ne pas enregistrer ou exploiter par la suite des documents partagés en vue du règlement amiable.

Quel est le rôle de l'avocat dans la médiation ?

Bien que l’assistance d’un avocat n’est pas obligatoire, vous disposez du droit d’être assisté(e) d’un Conseil.
En ce cas, celui-ci jouera son rôle et vous guidera tout au long du processus, même à distance, en vue d’un règlement amiable du conflit. Il ne s’exprimera pas directement en visio, mais sera chargé de la co-rédaction de l’accord transactionnel permettant de mettre fin au conflit sans procès.

Le médiateur répond - il à une éthique professionnelle ?

Oui le médiateur est un professionnel répondant à des garanties éthiques et déontologiques. Notamment, il se doit de rester IMPARTIAL, INDEPENDANT et NEUTRE vis-à-vis des participants à la mesure de médiation. A. PUJOL est membre de l’ANM et soumis au code de déontologie régissant l’ANM et le Groupement des Médiateurs Européens

Le service e-Solutions concerne t-il les litiges de la consommation ?

Notre service à distance ne traite pas la médiation-consommation entre un client et un professionnel, estimant qu’en la matière, les garanties d’indépendance des médiateurs choisis par les professionnels ne sont pas réunies. Néanmoins, vous pouvez choisir un médiateur totalement neutre pour votre litige via notre service et renoncerez ainsi à la médiation prévue par votre contractant professionnel.

Si l’autre partie refuse la médiation à distance ?

Dans un tel cas, un certificat officiel de tentative amiable vous sera délivré par le médiateur assermenté. Vous n’aurez pas à débourser d’argent supplémentaire.
Et pourrez, si vous le souhaitez, introduire une procédure devant le Tribunal compétent puisque vous aurez rempli votre obligation de tentative amiable préalable.

Vous êtes plus de deux parties en présence ?

La troisième, puis la quatrième partie, etc, règle sa participation à la médiation, soit 250 €.

Vous êtes favorable à une médiation intégralement en face à face ?

En cas de demande de réunion de médiation en face-à-face : consultez-nous, nous serons ravis de vous adresser un accompagnement personnalisé.

Que se passe-t-il en cas d’accord non écrit entre les parties ?

Si l’accord oralement convenu est appliqué, le litige est définitivement clos. En cas de non-respect, chacun reprend ses droits de saisir un Juge, et le médiateur délivre une attestation officielle valant tentative amiable obligatoire, nécessaire pour pouvoir lancer un procès. 

Une question ?

Quelle que soit la nature du différend et ses enjeux, adressez-nous votre demande ou question. Nous y répondrons par voie de mail sous 48 H

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Il existe pour chaque conflit et chaque situation des voies possibles de sortie.  Avec l’appui d’un tiers facilitateur et neutre. Partagez notre page spécialisée, et nos conseils par un Médiateur assermenté près les Cours d’appel.

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